Un jour j’ai dĂ©couvert que ta beautĂ© n’avait pas de pareil,
Tes yeux par leur éclat éblouirent les miens,
La douceur de ta voix enchanta mes oreilles,
Les noeuds de tes cheveux devinrent mes liens.
Je ne m’arrĂŞtais pas Ă ces beautĂ©s sensibles,
Je découvris en toi de plus rares trésors,
J’admirai aussi les beautĂ©s invisibles,
Qui rendent ton esprit aussi beau que ton corps.
Ainsi je fis d’aimer l’heureux apprentissage,
Une sensation dont j’aime la douceur.
J’ai toujours dans l’esprit tes yeux et ton visage,
J’ai toujours ton image au milieu de mon coeur.
Depuis que tes yeux allumèrent ma flamme,
Je respire bien moins en moi-mĂŞme qu’en toi,
L’amour semble avoir pris la place de mon âme,
Et la vie ne serait plus la mĂŞme s’il n’Ă©tait plus en moi.
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